ACTUALITE NOVEMBRE
VENCE
Le 25 Novembre 2017
"Un monde commun est-il encore envisageable" Conférence de Clément Stora, philosophe.
(texte à venir)
TOURRETTES
Le 25 novembre 2017
Une histoire de pots de chambre : « On purge bébé »
Ce soir à la Salle des Fêtes : vente de pots de chambre. En effet, Bastien marchand de vases de nuit en porcelaine, négocie une belle vente. Mais son épouse est inquiète : Toto ne veut pas prendre sa purgation.
Entre effets et rebondissements, le Théâtre du Verseau de Cosette Travère et la jeune comédienne Angelina du Théâtre ô Baz de Fabienne Lanteri, ont su maintenir le public dans une hilarité continuelle. Nous les avions déjà vus aux « Tréteaux de Vence 17 ». Qu'à cela ne tienne, nous avons rigolé encore plus fort.
France-Hélène
GATTIERES
Le 22 novembre 2017
Automnales
"Electrique"
Exposition de peintures et sculptures de Sophie Olivier
Vendredi à l'occasion des Automnales Gattières recevait à l'espace Louis Vaugade l'artiste et sculpteur Sophie Olivier pour le vernissage de son exposition " Electrique ". De nombreuses œuvres exposées: tableaux, rhinocéros, chaussure, lèvre en fil de fer tressé, Totems alliant le bois le fer et la céramique craquelée ainsi qu'une de ses dernières création la tête de taureau .
l' artiste a ouvert sa galerie-atelier 1 place Godeau à Vence ou vous pourrez voir ses créations ou assister au tressage avec du fil de fer. Pour contacter Sophie Olivier www.sophieolivier.com .
Jean Seguin
VENCE
ART ET TOLÉRANCE – FESTIVAL 2017 : DANS LA VILLE DE VENCE
Un programme pléthorique du 16 au 19 novembre, pour tous les âges et pour tous les goûts : forum, conférences, ateliers, spectacles, expositions.
Par ordre chronologique, le vendredi 17 novembre à 20h30, je me suis rendue au Théâtre de l’Avant-Scène où était programmé un spectacle de contes par l’Association « CONTES D’ICI ET D’AILLEURS ». Nous n’étions guère nombreux pour prêter nos oreilles aux conteuses qui ont su nous emmener dans leurs belles histoires.
Le lendemain samedi 18 novembre, j’ai porté mes pas vers la Médiathèque pour voir l’exposition « La Promenade des anglais : beauté et mélange des genres ». Toutes les photos exposées ont été réalisées par Mathieu MUOLLO, photographe autodidacte qui s’intéresse à « l’être dans son espace » ainsi qu’il l’écrit sur son blog. Et la Promenade des Anglais est à ses yeux un lieu idéal pour « croiser » tant d’êtres différents : la skateuse acrobatique, l’homme assis qui regarde pensivement la mer, les adeptes d’une gymnastique douce au lever du soleil, le chihuahua qui trottine allègrement au bout de sa laisse, le portier du Negresco au costume des siècles passés.
L’exposition se tient jusqu’au 2 décembre au rez-de-chaussée de la Médiathèque, qui, à cette occasion a sélectionné et exposé de nombreux ouvrages sur NICE.
Le dimanche 19 Novembre j’ai donné ma préférence à un spectacle de contes, encore. Cette fois, c’était à la Salle des Meules à 16h30, avec la Compagnie de la Hulotte, sous le titre « LA ROSE DES VENTS : CONTES ET MUSIQUE ». Par la grâce du talent des conteuses et du musicien, accompagnant avec discrétion les voix, notre imaginaire a ouvert des horizons. Ce sont des applaudissements nourris du public tout entier qui ont clôturé cet éblouissant voyage au pays des contes.
Danielle VALLÉE
VENCE
Le 19 Novembre 2017
Les Solistes du Philharmonique de Nice
Ce soir à la Cathédrale, les Solistes de l'Orchestre Philharmonique de Nice proposent deux œuvres moins connues du grand public : le « Nonetto n°2 » de Bohuslav Martinu composé en 1959 qui garde des accents mélodiques puis le « Septuor pour cordes et vents » de Ludwig composé en 1802 d'inspiration mozartienne bien que votre Courge y ait reconnu quelques accords de la future Symphnoie n° 5, vous savez la fameuse « pince à linge ».
Merci aux virtuoses qui ont enchainé trois concerts le même jour et aux Concerts Syrinx en attendant les 10 et 17 décembre. À bientôt Vera Novakova et son violon, Jean-Marie Marillier et sa contrebasse.
France-Hélène
TOURRETTES
Le 17 novembre 2017
Soirée Beaujolais nouveau
Organisée par le Comité des Fêtes la soirée Beaujolais nouveau a connu un vif succès avec, outre son vin primeur, des assiettes de charcuterie et de fromages.
Un moment particulièrement convivial autour des braseros disposés devant le barnum où les membres de l'association s'occupaient à servir les visiteurs du soir.
Marcel Orengo
VENCE
Le 17 novembre 2017
LA FLÈCHE ET LE POISON
Conférence d’Alain SUNYOL, membre de l’Institut d’Archéologie Alpes Méditerranée : « L'arc et la flèche sont les principaux outils qui ont permis pendant 10 000 ans à l'Humanité de se nourrir et se défendre, pourtant sur 4 000 objets exposés au musée des Arts Premiers du quai Branly, à Paris, rien sur l'archerie » déplore ce professeur d’anglais à la retraite, qui a fait une association pour combler cette lacune. Ce que l’on peut considérer chez nous comme un sport, M. Sunyol - passionné d’archéologie - va pousser plus loin ses recherches, ce qui va être en grande partie le sujet de sa conférence ce vendredi.
Les poisons divers sur les pointes de flèches, tant pour la chasse que pour la défense, étaient utilisés depuis la plus haute antiquité. Des pointes de flèches portant des rainures, sur lesquelles on disposait le poison, sont découvertes aussi bien en Europe qu’en Asie, et souvent proches d’animaux ayant disparu, au moins en Europe, depuis longtemps.
La science aujourd’hui, par ses progrès, permet une analyse de ces pointes de flèches et peut déterminer certaines substances utilisées. Mais en 1 h 30 on ne peut que limiter ce vaste sujet. Le curare provenant d’une plante peu courante, la strychnos toxifera, semble souvent employée (voir illustration) mais aussi le suc de plantes courantes comme la boule blanche du gui, le buis, le chèvrefeuille, l’hellébore ou le datura, ces derniers particulièrement efficaces. Les recettes provenant de macérations à base de viande avariée et de venin de vipère ont aussi sans doute été utilisées, mais les recettes en sont perdues.
Difficile de traiter en totalité un aussi vaste sujet un peu austère, pour ne pas dire vénéneux, Alain Sunyol a su passionner son auditoire, on le constate en fin de conférence, par les réactions et nombreuses questions.
Raymond ARDISSON
VENCE
Le 16 novembre 2017
Une matinée de réflexion autour de l’enfant, ses droits, sa tolérance
Dans le cadre du festival « Art et Tolérance », Jean-Claude Idée, auteur du livre « Korczak - la tête haute » présente le pédagogue polonais célèbre dans le monde entier, dès avant la deuxième guerre mondiale par ses livres pour enfants et ses ouvrages pédagogiques, sa direction d’orphelinats pour enfants catholiques et enfants juifs. Ses idées sont largement reprises dans la Déclaration des Droits de l’enfant des Nations Unies (1989). Son combat désespéré pour protéger les orphelins juifs des atrocités du ghetto de Varsovie a fait sa légende. Lorsque les nazis ont décidé, en août 1942, que les enfants devaient être exécutés, il a refusé au prix de sa vie de s’en séparer. « Si je les abandonne maintenant je serai pire que vous » a-t-il déclaré aux nazis venus embarquer les orphelins. Il est mort à Treblinka avec les 192 enfants et ses collègues de l’orphelinat. Il fut le premier défenseur des droits de l’enfant et le plus radical.
Cela nous amène tout naturellement à la conférence de Françoise Martinetti, auteur du livre « Les droits de l’enfant ». Elle rappelle les fondements et l’historique de ces droits. Considéré d’abord comme un adulte en devenir, l’enfant est désormais considéré à part entière avec ses droits et ses devoirs spécifiques. De nos jours l'évolution de la famille est rapide, les enfants deviennent peut-être plus vite des adultes parce que confrontés à une vie quotidienne complexe, il semble important qu'ils connaissent leurs droits pour mieux pouvoir se défendre. Mais ils doivent aussi prendre conscience que ces droits impliquent des devoirs envers eux-mêmes et envers les autres.
Frédric di Bisceglie, doctorant en master II - psychologie clinique et médiations thérapeutiques par l'art - les prépare à cela par la réalisation de bandes dessinées et de la créativité que cela implique. Regarder, comparer, expliquer conduit doucement mais sûrement vers l’acceptation de soi et de l’autre.
De nombreux échanges ont eu lieu avec le public venu nombreux.
Marcel Orengo
TOURRETTES
Le 11 novembre 2017
Commémoration du 11 novembre
Après la messe en l’église Saint Grégoire, les officiels se regroupent autour du monument aux morts entourés par de nombreux Tourrettans venus participer à la commémoration.
A l’occasion du 99e anniversaire de la signature de l’armistice du 11 novembre 1918 l’hommage a été rendu dans le village aux 1.400.000 soldats et 300.000 civils victimes des combats.
Après la lecture de la lettre de la Secrétaire d’État, Damien Bagaria, maire du village, prononce un discours dans lequel il rappelle les évènements survenus dans la commune au cours de cette triste « Grande Guerre ».
La cérémonie se termine autour du « pot du poilu » dans le hall de la mairie.
Marcel Orengo
VENCE
Le 8 novembre 2017
Autour du film « La Villa » Robert Guédiguian
Gérard Meylan, acteur dans le film « LA VILLA » de Robert Guédiguian et Bernard Sasia (chef monteur) interviewés par Marc Chaix, animateur Culture & Cinéma, échangent sur le film. Acteur, monteur et interviewer échangent sur le réalisateur, l’équipe du film, la trame du scénario…
Pour ce huis-clos à ciel ouvert le réalisateur retrouve Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin et Gérard Meylan et accueille des petits nouveaux, Anaïs Demoustier et Robinson Stevenin. "L’idée initiale était de tourner le film entièrement dans la calanque de Méjean, près de Marseille", explique Robert Guédiguian, "un lieu qui m’a toujours fait penser à un théâtre. Les petites maisons colorées, encastrées dans les collines semblent n’être que des façades... Elles sont surplombées par un viaduc où les trains ont l’air de jouets d’enfant, l’ouverture sur la mer transforme l’horizon en fond de scène... autant de toiles peintes... surtout dans les lumières de l’hiver, quand tout le monde est parti. Un décor abandonné, mélancolique et beau."
Le film LA VILLA de Robert Guédiguian sera présenté en avant-première ce mercredi au cinéma Casino lors de l’ouverture des 23èmes Rencontres CULTURE & CINEMA.
VIM vous propose, en collaboration avec l’équipe Culture & Cinéma, l’intégralité de cet entretien.
Marcel Orengo
LA GAUDE
Le 25 novembre 2017
La Coupole une fois de plus sous les feux du JAZZ
Pour sa 21è édition, le réputé Festival de JAZZ de La Gaude s’est clôturé ce samedi avec une journée aux multiples facettes. En fin de matinée, dans les jardins du Centre culturel devant un nombreux public, Bruno BETTATI, maire de la commune, a salué la réputation du festival et remercié chaleureusement l’équipe de bénévoles qui entoure le « chef d’orchestre » de cette manifestation : Alex Benvenuto.
L’Harmonie Gaudoise et la troupe des jeunes danseurs d’ART’nDance 4U ont animé la cérémonie au cours de laquelle Manuel LINARES, fervent défenseur du jazz et animateur de la Cave Romagnan, s’est vu remettre le Trophée d’Honneur : « la Note Bleue ».
Avant d’apprécier le traditionnel apéritif, le public amateur d’art a pu découvrir à l’intérieur des murs de La Coupole une exposition photographique d’Elizabeth CHOLEVA. Un retour aux sources pour redécouvrir la République Tchèque quinze ans après avoir dû, avec ses parents, fuir un pays en proie au régime communiste. Un témoignage poignant de racines retrouvées, où l’art photographique transcrit parfaitement le relatif entre la mémoire et l’actualité.
L’épilogue de ce 21è Festival du Jazz a eu lieu en soirée dans la nouvelle salle de la Coupole. En première partie, les artistes musiciens de la Compagnie SO WHAT ont une fois de plus régalé leur public et enfin, clou de la soirée, devant une salle comble, Paolo FRESU et son DEVIL QUARTET ont sublimé le jazz.
Des dialogues musicaux vertigineux entre la guitare de Bebo Ferra et la trompette de Paolo. Un feu d'artifices de notes lumineuses, amplifié par la contrebasse de Paolino Dalla PORTA, et rythmé par le jeu subtil des baguettes de Stephano BAGNOLI.
Un régal pour les mélomanes qui attendent certainement avec impatience la 22è édition de ce festival.
Maurice ZANELLA
TOURRETTES
Le 19 novembre 2017
"Addictions" par Anaïs PETIT
Véronique Sanson, France Gall, Catherine Frot, Jane Birkin, Vanessa Paradis… Et bien d’autres encore sont sur la scène de la salle des fêtes du village.
Vous l’aurez compris, il s’agit d’imitations par la toute mignonne Anaïs PETIT. Mignonne mais parfois délurée dans ses sketches, comme celui de la maison de retraite où un certain Marcel organise des parties intimes entre amis, avec une Lucienne (une des héroïnes des Vamps) particulièrement addict au sexe…
Le spectacle va vite, Anaïs passe du sketch au chant en s’accompagnant, fort bien, au piano. Vêtue de sa robe toute simple, ce petit bout’chou originaire d’Arras a plus d’une imitation dans son répertoire. Pour un spectacle tout neuf, Anaïs vise juste. Et le public apprécie, participe, applaudit.
Nous vous proposons quelques extraits du spectacle.
Marcel Orengo
VENCE
Le 17 novembre 2017
Les petits élèves de l'école Toreille
participent au festival ART & TOLÉRANCE
La classe de CP/CM1 de madame Beautemps assistée de la petite Estelle nous confie les raisons et les moyens mis en oeuvre pour participer activement à ce festival.
Nous vous laissons découvrir tout cela dans notre vidéo.
Marcel Orengo
VENCE
Le 16 novembre 2017
Ouverture officielle du festival
"Art et Tolérance"
L’ouverture officielle du premier festival « Art et Tolérance » à Vence est aussi une première en France. L’initiative de cet événement est impulsée par Catherine Méhu, directrice du « centre de recherche international pour les arts et la création, Villa Matisse le rêve ». Avec l’aide la ville de Vence, du soutien financier du Crédit Mutuel, des Universités Populaires du Théâtre de Bruxelles, et la participation bénévole d’un grand nombre d’associations, des élèves des écoles : de la maternelle à l’université.
Ces journées ont reçu le label Unesco.
Ce jeudi 16 novembre, place Fernand Moutet les « deux Catherine », madame le maire de Vence, Catherine Lelan et Catherine Méhu, ont ouvert officiellement ces quatre jours, du 16 au 20 novembre, où auront lieu 60 évènements « Art et Tolérance ». Nous vous invitons à lire le foisonnant programme et entamer le marathon culturel : forum, théâtre, danse, exposition, street-art, musique, colloque, lectures publiques, cinéma, ateliers en milieu scolaire …
Le point accueil se situe 8, place du Grand Jardin (ex office de tourisme).
Pourquoi ce festival ? Les organisateurs se sont référés à la « journée internationale de la tolérance » décrétée par les Nations Unies le 16 novembre, et la « journée internationale des droits de l’enfant le 20 novembre, et ont voulu y associer le douloureux souvenir des attentats de Nice. Cet événement collaboratif et citoyen : « Art et Tolérance » affirme contribuer à l‘altérité, à mieux se comprendre, à apprendre à créer et à vivre ensemble, à prendre connaissance des textes fondateurs de la TOLERANCE de Voltaire à Charb, pour œuvrer à la cohésion sociale et contrecarrer les influences insidieuses qui conduisent à la peur et à l’exclusion. Une grande ambition certes, mais toujours la réaffirmation de la liberté et du droit est plus que jamais nécessaire. Joy
VENCE
Le 13 novembre 2017
CONFÉRENCE SUR « LA PETITE HISTOIRE DU LIVRE DE COLLECTION ET SA VALEUR »
BIBLIOTHÈQUE POUR TOUS
par Stéphane AVERTY de la Librairie de la Basse-Fontaine
Une salle pleine, signe qui prouve que le sujet intéresse. Un auditoire attentif et qui n’hésite pas à poser des questions, auxquelles le conférencier répond toujours avec précision et bonne humeur. On sent que Stéphane AVERTY est un érudit passionné dans le domaine du livre de collection. Et pour illustrer ses propos, il a amené plusieurs caisses remplies de beaux ouvrages.
En préambule, les grandes périodes sont rappelées : de l’incunable (de 1450 à 1501) à l’édition actuelle. Les termes techniques aussi : formats (folio, in quarto, in octavo jusqu’à parfois le minuscule in 32), types de papier, pages de garde, tranche, ex-libris, colophons, couvertures, plats, coins, reliures, mors, etc…
Beaucoup de critères sont à prendre en compte. Le conférencier insiste sur le sujet traité qui doit présenter un intérêt, il recommande d’être attentif au bon état du livre et précise qu’une édition originale est à rechercher. Le nombre d’exemplaires est à scruter, car il est évident qu’une diffusion en nombre restreint donne plus de valeur à l’exemplaire numéroté. Mais il y a d’autres éléments qui peuvent augmenter la valeur : par exemple, un livre dont les pages n’ont pas été découpées, une dédicace de l’auteur, un ex-libris qui indique le propriétaire de l’ouvrage (il a cité le cas d’un premier livre sur les hiéroglyphes, dont l’ex-libris indiquait qu’il avait appartenu à un grand spécialiste de l’égyptologie), la qualité de la typographie, la qualité des gravures, l’art de l’illustrateur, une belle luminosité des couleurs ou bien une reliure remarquable, une qualité de peau exceptionnelle (maroquin, veau, chagrin), ou encore un papier d’excellente fabrication (alfa, vergé, vélin, bouffant, glacé, arches, …).
Plusieurs beaux ouvrages ont été montrés : livres en feuilles rassemblées dans une pochette glissée dans un coffret cartonné et illustré, éditions originales (dont j’ai retenu VENCE ET SES MONUMENTS de 1934 de Jacques DAURELLE), livres illustrés par des artistes, livres illustrés pour enfants… Le conférencier a également indiqué des sites internet sérieux pouvant être consultés, dont celui du SYNDICAT NATIONAL DE LA LIBRAIRIE ANCIENNE ET MODERNE.
Quelques personnes avaient apporté des ouvrages. Stéphane AVERTY s’est très aimablement livré à l’exercice d’analyse, reprenant tous les éléments évoqués au cours de la conférence. Las, il n’y a pas eu « l’ouvrage exceptionnel » qui aurait enthousiasmé son possesseur. Un très bon moment, passé avec des amateurs, amoureux et passionnés de livres, dont le président de la revue VENCE DURANT LES SIÈCLES : Raymond Ardisson.
Quelques termes pour parler des livres :
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Tranche : partie du livre formée par l’épaisseur des pages (visible sur les trois côtés qui ne sont pas le dos de la reliure). On distingue les tranches supérieure (tête), inférieure (queue) et extérieure (gouttière)
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Charnière : Articulation du plat et du dos d’un volume
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Maroquin : peau de chèvre venant à l’origine du Maroc ; cuir noble et épais à grain large et apparent
Danielle VALLÉE
VENCE
Le 11 novembre 2017
Débat autour du film « 12 jours » de Raymond Depardon
23èmes Rencontres Culture & Cinéma
Avant 12 jours, les personnes hospitalisées en psychiatrie sans leur consentement sont présentées en audience, d’un côté un juge, de l’autre un patient, entre eux naît un dialogue sur le sens du mot liberté et de la vie.
La force du film de Depardon est de ne pas porter de jugement condescendant, ni envers les malades, ni envers les juges, et de présenter une vision objective des faits. Dans ce but, trois caméras ont été installées dans la salle d’audience : l’une pour le magistrat, l’autre pour le patient, et la troisième pour les plans généraux. L’égale distance ainsi obtenue, et la récurrence de plans fixes qui en résulte, donnent au film une objectivité et une sérénité bienvenues.
Après la projection du film au cinéma Casino de Vence, le public s’est retrouvé dans la salle du Musée pour échanger avec les deux conseillères du film, Natalie Gilloux et Marion Primevert. L’animation était assurée par Marc Chaix de Culture et Cinéma.
Un débat d’une heure dont nous vous proposons un extrait dans notre film.
Marcel Orengo
VENCE
Le 11 novembre 2017
Autour du film « Les Grands esprits » Olivier Ayache-Vidal
Pour son premier grand métrage, Olivier Ayache-Vidal est interview par Marie Lalande.
François Foucault, la quarantaine est professeur agrégé de lettres au lycée Henri IV, à Paris. Une suite d’évènements le force à accepter une mutation d’un an dans un collège de banlieue classé REP +. Il redoute le pire. A juste titre.
Avec Denis Podalydès (François Foucault) , Zineb Triki (Agathe) , Léa Drucker .
VENCE
Le 11 novembre 2017
Commémoration du 11 novembre
(texte à venir)
TOURRETTES
Le 4 novembre 2017
"Les Enchantantes"
Evelyne Dubosq, chant
Marybel Dessagnes au piano
Invitées par l’association « les Amis de Tourrettes » présidée par Frédéric Poma, Évelyne Dubosq et Marybel Dessagnes, un duo piano-voix « Les Enchantantes », présentent « Avec le temps », un concert entre chansons populaires et mélodies françaises contemporaines.
Un hommage au terroir musical français et imaginé comme un album à feuilleter, témoin du temps qui passe …
Vincent d’Indy, Joseph Kosma, Francis Poulenc, Kurt Weill, Leo Ferré, Jean Nohain, Jacques Prévert, Raymond Queneau, Anne Sylvestre…
Moments rares quand le public reprend en chœur avec Évelyne Dubosq « Le Tango corse » rendu célèbre par Fernandel. Ou quand, chaussée de lunettes avec antennes noires, la chanteuse entonne la fable de La Fontaine « La cigale et la fourmi » tenant par l’épaule son amie Marybel, laquelle a offert une Improvisation surprenante au piano solo à partir de Coupo Santo et Nissa la bella.
Une belle soirée qu’il ne fallait pas manquer.
Marcel Orengo